ZENITH, le nouveau programme du Groupe Export agroalimentaire Québec-Canada, vise une meilleure structuration des activités d’exportation. Le programme arrive à point nommé pour soutenir les entreprises qui sont déjà exportatrices et celles qui, dans le contexte de la pandémie de la COVID 19, cherchent à ouvrir de nouveaux marchés à l’étranger.
Intensification et partenariats de recherche orientée sur le développement durable, rémunération des agriculteurs pour des efforts environnementaux, réduction de l’usage des pesticides, réforme de la loi sur les agronomes : autant d’éléments que contient le Plan d’Agriculture Durable déposé par le Ministre André Lamontagne.
L’Association des Producteurs d’Hydromel et d’Alcools de Miel du Québec, récemment formée, veut faire la promotion des produits alcoolisés à base de miel, mais également faire reconnaître par les autorités règlementaires les particularités de ce secteur.
Le Québec est trop dépendant de ses exportations agroalimentaires et un objectif d’autosuffisance alimentaire n’est à la fois ni souhaitable ni réaliste. Lionel Levac nous rapporte les propos de Patrick Mundler.
Dans l’industrie agroalimentaire on prend très au sérieux la poussée des protéines végétales et on cherche des façons de les intégrer à la gamme des produits que les entreprises offrent déjà. C’est tout particulièrement le cas dans les secteurs des viandes et de la transformation laitière.
La pandémie du virus COVID 19 a rapidement amené une prise de conscience de l’importance de l’alimentation et des réseaux qui la produisent et la distribuent. Les consommateurs s’en tirent assez bien, ne manquant pas de l’essentiel. En revanche, nombre d’entreprises ont vu depuis mars dernier, s’aggraver différents problèmes.
Le Président d’Agropur, Roger Massicotte et le Vice-président principal, Ventes et Marketing chez Olymel, Richard Davis, ont décrit les initiatives prises pour affronter la crise soudaine provoquée par la pandémie de la COVID 19.
Après le succès du programme Manufacturier Innovant, Investissement Québec lance cette fois le programme Productivité Innovation, pour lequel 2,4 milliards de dollars sont déjà débloqués. Et au besoin il y aura davantage d’argent.
L’Agroéconomiste et candidate au Doctorat en Mathématiques et génie industriel à École Polytechnique Montréal, Aisha Issa, estime que le Québec doit favoriser le développement et l’adoption des technologies de pointe, autant dans les grandes que les petites entreprises du secteur de l’agroalimentaire.
Pour le pâturage de son troupeau de 30 chèvres alpines et pour sa récolte de fourrages, Ferme Des Broussailles doit louer des parcelles voisines.