Alors que le Ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec poursuit les études et consultations en vue d’une mise à jour de la loi de Protection du territoire et des activités agricoles, l’Institut Jean-Garon estime que le développement et la diversification de nos productions doivent se faire sur les 40% de terres zonées vert mais non utilisées.
Selon l’Institut, le Québec n’augmentera véritablement son autonomie et sa sécurité alimentaires que lorsqu’il aura vraiment diversifié ses productions sur la part importante de ses terres inutilisées.
Lionel Levac s’est entretenu à ce sujet avec le co-président de l’Institut Jean-Garon, Michel Saint-Pierre.