Peut-être le monde agricole canadien, et plus particulièrement québécois, vit-il les derniers moments de la gestion de l’offre dans les secteurs du lait, des œufs et de la volaille.
Une chose est certaine, jamais la gestion de l’offre n’a été autant menacée qu’actuellement, et les conditions de sa renégociation, aussi défavorables au Canada.
Lionel Levac, dans un billet-analyse, croit que la gestion de l’offre servira très rapidement dans les discussions entre le Canada et Donald Trump, de monnaie d’échange.
Bonjour M. Levac, je me dois de vous dire que votre opinion est malheureusement partagée. Ce personnage sudiste le sait très bien. Il a mis des barres très hautes sachant que le Canada est fort dépendant des exportations vers les Etats-Unis.
Wouf Lienel …. pas tres rassurant meme si c’est tres realiste…
Le gros problème c’est la valeur des quotas qui a frainer l’efficacité et empêcher les jeunes de prendre la relève.L’ UPA se plaignait du prix élevés des terres agricoles qui nuisent au jeune ,mais si le prix des terres sont chère c’est à cause que ce sont les agriculteurs eux-mêmes qui achète ces terres et souvent ces terres qui sont achetés par des agriculteurs qui profitent de la GO et ceux qui profitent de l’ASRA .Même sans les menaces de Trump notre agriculture s’ennalait déjà à la dérive.
Je vous suggère de lire le livre NOTRE AGRICULTURE A LA DÉRIVE.