Les coûts de financement pour les entreprises agricoles et agroalimentaires ont grimpé en flèche avec les hausses répétées du taux directeur de la Banque du Canada.
Et devant la probabilité que la situation ne s’améliore pas de sitôt, on cherche à s’en tirer le mieux possible, peut-être avec ce que l’on appelle dans les milieux financiers des produits dérivés pouvant permettre de réduire sensiblement les coûts du crédit.
RBC profitait des Salons agricoles de Saint-Hyacinthe et de Québec pour proposer un produit dérivé particulier, le SWAP.
Lionel Levac nous en parle.