La transformation numérique dans le secteur de l’agroalimentaire apparaît de plus en plus nécessaire. L’exemple des entreprises qui ont amorcé le virage démontre que les gains peuvent être multiples.
Par exemple, elle permet l’amélioration de l’efficacité, de la productivité, de la rentabilité, de l’uniformité des productions, de la rapidité d’exécution et de réponse aux nombreuses exigences de salubrité et de conformité aux règlementations multiples. Et l’impact sur les employés d’une transformation bien faite est positif.
Le Conseil de la Transformation Alimentaire du Québec tenait récemment un Sommet de la transformation numérique. Lionel Levac y était.