Alors que l’on souhaiterait les accueillir par centaines, les travailleurs étrangers temporaires dont ont besoin les transformateurs alimentaires n’arrivent qu’au compte-gouttes.
Au-delà de la volonté politique, il apparaît que les autorités n’ont pas la capacité réelle d’accélérer les processus d’entrée au pays.
En conséquence, des entreprises ont réduit leur production, certaines ont repoussé ou abandonné des projets d’expansion, plusieurs refusent des commandes et un bon nombre ont peine à maintenir des activités quasi minimales.
Lionel Levac fait le point.