Joseph Lupien-Meiller, doctorant Science et technologie des aliments à L'institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels de l'Université Laval, Robert Desmarais et sa fille Arianne Clément, de la Ferme Robert Desmarais d'Acton ale.

Joseph Lupien-Meiller, doctorant Science et technologie des aliments à L'institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels de l'Université Laval, Robert Desmarais et sa fille Arianne Clément, de la Ferme Robert Desmarais d'Acton ale. 

Personne n’osait y croire il y a quelques semaines à peine, mais la terre s’est réveillée et les travaux agricoles sont commencés. Bien sûr, parlons surtout de l’ouest et du centre du Québec, car en bien d’autres endroits, le printemps est encore bien jeune.

Toujours est-il qu’une première récolte est commencée. La récolte printanière du topinambour est amorcée sur la ferme Robert Desmarais d’Acton Vale.

Et ce n’est pas tout! Aux Jardins Végibec à Oka, comme sur plusieurs autres fermes maraîchères, on a commencé la mise en terre des primeurs. Les acériculteurs dans la périphérie de Montréal quant à eux, nettoient les équipements, et les pomiculteurs finissent de tailler les pommiers. Chez les producteurs de pommes de terre, comme à La Ferme Valupierre de St-Laurent de l’île d’Orléans, on attend que le sol s’assèche et se réchauffe.

Lionel Levac fait un tour d’horizon en ce début de saison.

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Rémy Lapointe et Antoine Fortier qui préparent la machinerie pour le début des semis. Stéphanie Vaillancourt de la Ferme Valupierre.

Rémy Lapointe et Antoine Fortier qui préparent la machinerie pour le début des semis. Stéphanie Vaillancourt de la Ferme Valupierre.

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