Les dirigeants et les propriétaires d’Olymel adoptent une stratégie de croissance par de nouvelles acquisitions. Également, l’entreprise mise sur la production et la mise en marché de volumes plus importants de produits à valeur ajoutée. Blogue 2 de 2.
Olymel, pour assurer sa croissance et maintenir sa position de tête sur le marché des viandes, cherche à faire de nouvelles acquisitions. Le Premier Vice-président d’Olymel, Paul Beauchamp, l’affirmait il y a quelques jour…
« L’Assurance Stabilisation des Revenus Agricoles dans le secteur porcin est désuète et particulièrement inadaptée à des productions de niche comme le « Bio » et « Certifiée bien-être animal ». De plus, à la limite l’ASRA nuit à l’acceptabilité sociale de la production porcine au Québec. »
Le code des bonnes pratiques dans l’élevage porcin prévoit que les cages de mise bas auront disparu des fermes en 2024. Pour l’instant, la situation varie chez les importantes entreprises porcines en Amérique du Nord pour qui le bien-être animal est aujourd’hui une obligation. Lionel Levac fait le point.
L’expression « Tout est bon dans le cochon », a beau être connue et souvent répétée, peu de gens chez-nous mangent couramment toutes les parties du porc. Dans le cadre de l’événement du Porc Show, Lionel Levac a goûté les plats du Chef exécutif du Centre des Congrès de Québec, Jean-Pierre Cloutier, et s’est aussi intéressé aux gagnants du concours de la Relève culinaire, des étudiants de l’ITHQ.
Les impacts du récent Accord États-Unis-Mexique-Canada, AEUMC, sur le secteur de la volaille sont pour l’instant prévisibles et limités. Cependant, la situation pourrait changer dans 6 ans, alors que s’appliqueront certains termes de l’entente. L’économiste en chef de Financement agricole Canada, Jean-Philippe Gervais, participait au Rendez-Vous Avicole de l’AQINAC et Lionel Levac y était.
Alors qu’Olymel, filiale de la Coop Fédérée et F. Ménard continuent de préparer la transaction qui ferait passer les activités porcines de l’entreprise privée sous le giron de la Coop, les producteurs de porcs souhaitent ne pas être laissés pour compte. Plus de détails avec Lionel Levac.
OLYMEL, division de la Coop Fédérée, achètera les activités de F. Ménard dans le secteur porcin. Olymel renforcera ainsi sa position déjà dominante dans l’élevage et la commercialisation de la viande de porc. La transaction dépasserait le milliard de dollars. Voici ce que Lionel Levac a appris en exclusivité…
L’industrie porcine québécoise se porte bien et pourrait facilement connaître une croissance. Cependant, du côté des éleveurs, on estime encore que le partage des recettes de l’industrie n’est pas équitable…