L’acceptabilité sociale : au cœur de la réussite de vos projets agroalimentaires
L’acceptabilité sociale est le cœur des projets agroalimentaires : elle bâtit la confiance, renforce la crédibilité et assure la durabilité.
L’acceptabilité sociale est le cœur des projets agroalimentaires : elle bâtit la confiance, renforce la crédibilité et assure la durabilité.
La relève entrepreneuriale est un enjeu central pour l’avenir du secteur agroalimentaire et agricole au Québec. Assurer la pérennité des entreprises tout en passant le flambeau à une nouvelle génération exige vision, adaptation et transfert de connaissances.
Face aux enjeux environnementaux actuels et à l’évolution des attentes des donneurs d’ordres, investisseurs et consommateurs, les entreprises agroalimentaires doivent innover pour réduire leur empreinte carbone tout en restant compétitives.
André Michaud, président d’Agro Québec, ainsi que Philippe St-Jean, vice-président développement des affaires, sont heureux d’accueillir Lara Gasoi comme associée au sein de l’entreprise fondée en 2008.
Idéalement, tous les pays devraient viser le maximum d’autonomie alimentaire et avoir la flexibilité d’adopter les politiques appropriées. Ce principe, pourtant simple, ne cadre pas avec la logique des ententes commerciales multilatérales.
L’enjeu des gaz à effet de serre (GES) est loin d’être nouveau dans les discussions au Québec et à l’international, autant dans le monde politique que dans celui des affaires. Bien que cela n’ait pas toujours été le cas, la réduction des GES est désormais perçue comme un levier complémentaire à la performance économique des entreprises.
J’ai lu le livre Notre agriculture à la dérive écrit par Guy Debailleul, Suzanne Dion et Michel Saint-Pierre. Dédié à Jean Pronovost, qui a présidé la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois en 2008, l’ouvrage est essentiellement une réédition du rapport de cette commission.
En 1978, la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles fait son entrée en vigueur au Québec afin d’assurer que les terres agricoles restent aux agriculteurs. Si depuis, aucune action de cette envergure n’a été menée à l’échelle provinciale, la ville de Laval a fait le pari cet été de valoriser les 29% de son territoire qui composent sa zone agricole permanente.
En 1978, la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles fait son entrée en vigueur au Québec afin d’assurer que les terres agricoles restent aux agriculteurs. Si depuis, aucune action de cette envergure n’a été menée à l’échelle provinciale, la ville de Laval a fait le pari cet été de valoriser les 29% de son territoire qui composent sa zone agricole permanente.
Certaines questions demeurent, car la taille des détaillants et leurs parts de marché les rendent incontournables. Les fournisseurs sont dans une relation vitale et très délicate avec les détaillants. Oseront-ils utiliser toutes les possibilités du code et aller jusqu’à recourir à l’arbitrage pour faire trancher un litige?