PROJET D’ABATTOIR DES PRAZ: « ENFIN » DIT LE MONDE MUNICIPAL D’ABITIBI-TÉMISCAMINGUE
Le monde municipal d’Abitibi-Témiscamingue accueille très favorablement le projet de construction d’un nouvel abattoir de l’entreprise familiale DES PRAZ.
Le monde municipal d’Abitibi-Témiscamingue accueille très favorablement le projet de construction d’un nouvel abattoir de l’entreprise familiale DES PRAZ.
L’entreprise familiale DES PRAZ va de l’avant avec son projet de construction d’un nouvel abattoir qui sera conçu pour l’obtention d’un permis québécois qui lui permettra d’étendre la distribution de ses produits. Lionel Levac nous parle du projet DES PRAZ.
Le projet du Gouvernement du Québec de doubler les superficies de production en serres sera déposé à l’automne. Pour le Ministre André Lamontagne, ce n’est là qu’un exemple des programmes et investissements à venir au cours des prochains mois et qui devraient assurer un nouvel élan au secteur agroalimentaire.
Selon le Ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, André Lamontagne, l’agroalimentaire québécois a jusqu’à maintenant évité le pire et même si tout est loin d’être réglé, les différents secteurs réussissent à maîtriser la situation provoquée par la pandémie de la COVID-19.
Les récoltes s’amorcent sur les fermes maraîchères et l’humeur des producteurs n’est pas au beau fixe. On peut même dire que l’humeur est très variable d’une entreprise à une autre.
La reprise sera plus rapide dans le secteur de l’agroalimentaire que dans le reste de l’économie.
Le Regroupement des Pêcheurs Professionnels du Sud de la Gaspésie et le Conseil des Vins du Québec, unissent leurs efforts pour inciter les consommateurs à faire de leurs festins de homards, de véritables repas gastronomiques locaux.
Avec des pertes de revenus allant parfois jusqu’à 70%, les Torréfacteurs Artisans du Québec traversent une période très difficile.
Des dizaines de producteurs maraîchers attendent toujours l’arrivée de travailleurs étrangers temporaires. Certains de ces maraîchers ont déjà décidé de réduire la production et même de labourer des parcelles qu’ils ne pourront pas récolter.
EXCELDOR, spécialisée dans la volaille, accuse déjà une perte de plus de 15 millions en raison de la pandémie de la COVID-19.