Pour la qualité, pas de problème, ensuite il y a le prix et la main-d’œuvre pour produire des volumes suffisants.
Ainsi, on pourrait développer des marchés intéressants à l’étranger pour des fromages québécois et pour de la volaille de qualité supérieure.
Lionel Levac a discuté exportation avec quelques producteurs et transformateurs à l’occasion du récent Salon Internationale de l’Alimentation de Montréal.