Question sécurité des approvisionnements, l’industrie alimentaire ne sera probablement pas contrainte d’avoir recours avant un bon moment encore, et ce de façon significative, à des poudres de grillons et de vers à farine ou encore des concentrés d’algues. La capacité de produire des protéines plus conventionnelles apparaît encore suffisante pour nourrir la planète pendant un bon moment encore.
Toutefois, ce sont les consommateurs qui pourraient bientôt exiger davantage de protéines alternatives, pour leur propre mieux-être et la santé de l’environnement. Car on retrouve dans les protéines alternatives de quoi régler ou atténuer des problèmes de santé. De plus, leur consommation rend la production alimentaire moins dure pour l’environnement.
Lionel Levac a assisté à une rencontre organisée par le Conseil de la Transformation Alimentaire du Québec (CTAQ), sur les protéines alternatives.
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