L’Union Paysanne demande à la Régie des Marchés Agricoles du Québec de réviser à la hausse les volumes de production autorisés, sans quotas, sur de petites fermes.
Pour l’Union Paysanne ce serait là un moyen efficace de stimuler le développement de fermes familiales diversifiées et d’encourager la consommation locale dans des circuits courts.
Pourtant, un autre point de vue veut que l’avenir soit à la grande distribution.
Lionel Levac s’est entretenu avec Sylvain Charlebois de l’Université Dalhousie et Maxime Laplante de l’Union Paysanne.
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L’agriculture ne devrait PAS être une profession fermée. Vivre et laisser vivre s.v.p….
Tout à fait d’accord !