Les consommateurs d’ici disposent maintenant d’un vaste choix de pommes locales tout à fait en mesure de faire concurrence aux variétés importées. On ne peut plus prétexter l’absence de choix pour justifier la recherche et l’achat de pommes étrangères.
Non seulement la pomiculture québécoise a fait un rattrapage important, mais elle travaille à ne pas être de nouveau déclassée. Plusieurs variétés de pommes continuent de faire leur apparition dans les vergers et les commerces. Malgré un soutien et des moyens limités, les recherches se poursuivent sur la résistance au climat et aux maladies ainsi que sur le goût et sur l’aptitude à une longue conservation. Et il y a bien sûr de plus en plus d’artisans et d’entreprises qui développent des produits à base de nos pommes.
Lionel Levac a participé récemment à une journée organisée par les Producteurs de Pommes du Québec en Montérégie où il a eu l’occasion de discuter avec plusieurs intervenants du secteur.
Dans le reportage qui suit, vous entendrez tour à tour les interlocuteurs suivants:
- Mario Bourdeau, Verger MJ Bourdeau
- Stéphane Billette, ex-député de Hutingdon
- Marc-Antoine Lasnier, Cidrerie Milton, Président des Producteurs de Cidre du Québec
- Bob Le Chef
- Vicky Fillion, Club Producteurs Sud-Ouest
- Allan Demoy, Cidrerie du Minot
- Stéphanie Levasseur, Producteurs de Pommes du Québec
- Pierre-Luc Gingras, Services alimentaire Gordon
- Sophie Perreault, Association québécoise de la distribution de fruits et légumes (AQDFL)
- Julie DesGroseillers, Mouvement j’aime les fruits et légumes (AQDFL)
- Véronique Decelles, DURA-Club
- Mitchel Leahy, Verger Leahy
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