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L’avenir du secteur porcin au Québec passe par le développement de produits de niches, aussi bien pour le marché local que pour satisfaire des clients étrangers. Et pour innover, offrir de nouveaux produits, aux caractéristiques particulières, comme de la viande biologique, du porc naturel ou alimenté de façon spécifique… il faut des investissements majeurs aussi bien sur les fermes que dans les usines d’abattage et de préparation des viandes.

Lionel Levac a constaté que les entreprises d’abattage ont déjà injecté des centaines de millions de dollars pour augmenter leur capacité et préparer différemment la viande. Les marchés spécialisés, de niches apportent des revenus supplémentaires qui justifient les investissements. Sur les fermes cependant, il y a un retard important et de nombreux producteurs se demandent comment ils vont réussir à remplacer bâtiments et équipements désuets et pouvoir rester en affaires.

Les quatre plus grandes entreprises québécoises d’abattage et de transformation ont récemment accepté de discuter du contexte avec les éleveurs, à l’occasion du Forum stratégique sur l’avenir de la production porcine, qui se tenait à Québec.

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