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La demande est soutenue pour le Bœuf Québec et les éleveurs doivent rapidement ajuster leurs élevages de façon à ce que les parcs d’engraissement puissent acheter davantage de jeunes bêtes issues de fermes québécoises.

Les naisseurs, c’est-à-dire les propriétaires d’ateliers vaches veaux et les finisseurs, ceux qui engraissent les veaux de façon à ce qu’ils deviennent bovillons d’abattage, doivent s’entendre sur les croisements que ces derniers préfèrent ainsi que sur les calendriers de livraison. Toute une logistique est donc à se mettre en place, dans le secteur bovin québécois, de façon à ce que  Bœuf Québec puisse continuer de croître.

Au rythme actuel de croissance de la demande pour de la viande bovine certifiée d’origine québécoise, les éleveurs n’ont pas de temps à perdre.

Lionel Levac s’est entretenu avec le propriétaire d’un parc d’engraissement de la région de Lotbinière qui a bien hâte de livrer des bovillons à la filière Bœuf Québec.

 

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