Si la société québécoise souhaite vraiment le développement des productions agricoles biologiques, l’état doit y consentir une aide financière plus substantielle.
Cet avis est partagé par l’ensemble des parties prenantes de l’Agriculture biologique qui voient de plus en plus dans cette façon de produire des aliments, un moyen efficace de réduire l’utilisation et la présence de chimies de synthèse dans l’environnement et la chaîne alimentaire.
Dans ce deuxième reportage sur le BIO, Lionel Levac présente des personnalités et des groupes qui souhaitent l’expansion de la production biologique.
Dans ce blogue, les personnes suivantes s’exprimaient lors de la récente Commission Parlementaire québécoise sur les pesticides :
- Maxime Laplante, président de l’Union Paysanne
- Marcel Groleau, président de l’Union des Producteurs Agricoles
- Sébastien Léveillé, président de Sollio agriculture, filiale de la COOP Fédérée
- Louis Robert, agronome chercheur
- Normand Poniewiera, directeur général de l’INAB, Institut Nationale d’Agriculture Biologique du Cegep de Victoriaville
- Ryan Worns, directeur des communications et de la mobilisation Équiterre
- Jean Zigby, médecin, ex-président de l’Association canadienne des médecins pour l’environnement
- Denise Proulx, journaliste
- Jacques Brodeur, professeur et chercheur de l’Institut de recherche en biologie végétale du Centre de la biodiversité de l’Université de Montréal
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Agro Québec agroquebec agriculture
Oui le bio, « agissons avant qu’il ne soit … Si nous n’agissons pas aujourd’hui, demain il peut être trop tard. … une réalité devenue indiscutable et la question n’est plus aujourd’hui d’en discuter mais posez des actions concrète ! Prendre soin de la terre et de notre santé ne se conjugue pas avec des pesticides.