PANDÉMIE LA REPRISE SERA PLUS RAPIDE EN AGROALIMENTAIRE
La reprise sera plus rapide dans le secteur de l’agroalimentaire que dans le reste de l’économie.
La reprise sera plus rapide dans le secteur de l’agroalimentaire que dans le reste de l’économie.
Le Regroupement des Pêcheurs Professionnels du Sud de la Gaspésie et le Conseil des Vins du Québec, unissent leurs efforts pour inciter les consommateurs à faire de leurs festins de homards, de véritables repas gastronomiques locaux.
Avec des pertes de revenus allant parfois jusqu’à 70%, les Torréfacteurs Artisans du Québec traversent une période très difficile.
Des dizaines de producteurs maraîchers attendent toujours l’arrivée de travailleurs étrangers temporaires. Certains de ces maraîchers ont déjà décidé de réduire la production et même de labourer des parcelles qu’ils ne pourront pas récolter.
EXCELDOR, spécialisée dans la volaille, accuse déjà une perte de plus de 15 millions en raison de la pandémie de la COVID-19.
De très nombreuses entreprises de transformation alimentaire, de toutes tailles, accusent actuellement des pertes importantes dans le contexte de la pandémie du COVID-19.
Les GALERIES GOURMANDES, du centre commercial, LES GALERIES DE LA CAPITALE à Québec, sont rouvertes. Pour l’instant, 5 boutiques ont repris les activités, au moins une autre le fera sous peu.
« Le Québec est mieux placé que n’importe quel autre territoire pour atteindre un haut niveau d’autonomie alimentaire. L’objectif doit par ailleurs recevoir l’appui de tous, du village jusqu’à la grande entreprise, en passant par les commerçants et les milieux d’enseignement ».
Le Groupe BORÉE, une coalition d’organismes, d’entreprises et de personnalités du Saguenay-Lac-Saint-Jean, présentera d’ici un mois un plan d’autonomie alimentaire. La coalition dont fait entre autres partie l’Université du Québec à Chicoutimi, la Coopérative Nutrinor et le regroupement AgroBoréal, estime, par sa stratégie, pouvoir faire grimper de 20 % l’autonomie alimentaire de la région.
Les ventes en ligne permettent à plusieurs entreprises de maintenir un niveau viable d’activité alors que pour d’autres elles sont une occasion de développer les affaires.