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Le développement d’une agriculture dynamique, compétitive et vivifiante pour l’économie, doit impliquer les régions et l’ensemble de la société québécoise. On ne peut isoler l’activité agricole, car elle-même a de forts impacts sur plusieurs autres activités. Donc, l’établissement d’une Politique bioalimentaire québécoise devra se faire collectivement, même si au premier chef, l’exploitation des terres ainsi que la production, sont du ressort des agriculteurs.
Tel est en résumé, le message que le professeur Patrick Mundler de l’Université Laval, énonçait à l’occasion de la troisième rencontre préparatoire du Sommet sur l’Alimentation qui aura lieu à l’automne.
À quelques mois de ce sommet, et pour alimenter la réflexion, Lionel Levac nous rapporte les propos de Patrick Mundler.
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