La production de dindon risque d’être la plus touchée dans le secteur de la volaille au Québec à la suite de l’Accord États-Unis–Mexique–Canada.
En plus du pourcentage d’ouverture du marché canadien consenti aux États-Unis et au Mexique, plusieurs clauses de l’entente imposent des contraintes importantes aux producteurs d’ici.
Le marché sera donc plus ouvert et les éleveurs québécois devront se plier au droit de regard des Américains sur les exportations ailleurs dans le monde pour de la viande brune, moins populaire sur notre marché.
Lionel Levac s’est entretenu avec le Président des Éleveurs de Volailles du Québec, Pierre-Luc Leblanc.
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