L’ouverture du marché canadien à de plus en plus de produits étrangers serait plus acceptable si les normes canadiennes étaient appliquées à l’ensemble de ces denrées.
La réciprocité des normes entre ce qui est produit ici et ce qui est importé n’existe pas vraiment et les contrôles visant à la vérifier sont très peu nombreux, sinon inexistants pour certains aliments.
Des voix se lèvent cependant pour amener les autorités canadiennes à assurer des chances égales aux producteurs d’ici, sur notre marché intérieur.
Voici ce que Lionel Levac a recueilli à ce sujet à l’occasion du récent congrès de l’Union des Producteurs Agricoles (UPA).
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