Il ne faudrait surtout pas que la future Politique Bioalimentaire du Québec ait pour effet de stimuler l’importation de produits étrangers. Avant d’imposer de nouvelles orientations, voyons d’abord à assurer que nous produisons ici ce qu’il faut, comme le souhaitent les consommateurs et que l’on soit capable de reconnaître, sans ambiguïté nos aliments.
Pierre-Alexandre Blouin, Président directeur général de l’ADA, l’Association des Détaillants en Alimentation, estime que la future Politique Bioalimentaire doit d’abord être un levier économique et privilégier les aliments locaux et de proximité, en fait, des aliments québécois.
Lionel Levac poursuit l’entrevue que lui accordait Pierre-Alexandre Blouin, à quelques semaines du Sommet sur l’Alimentation, étape ultime avant le dépôt d’une Politique Bioalimentaire québécoise.
-30-
Agro Québec agroquebec agriculture