Invité d’honneur de la troisième rencontre préparatoire au Sommet sur l’Alimentation, l’agroéconomiste et gestionnaire d’entreprises, Claude Lafleur, s’est dit convaincu que les chefs d’entreprises agricoles, peu importe qu’elles soient grosses ou petites, doivent rapidement devenir de véritables entrepreneurs. De plus, affirme l’ex-chef de la Direction de la Coop Fédérée, ces entrepreneurs doivent accélérer leur passage aux technologies de l’information, aux outils de communications et aux équipements de pointe en matière de production.
Dans le premier de deux reportages sur les propos de Claude Lafleur, Lionel Levac nous présente aujourd’hui quelques extraits de l’allocution tenue à Lévis le 26 mai dernier.
La thématique principale, l’entrepreneuriat moderne et dynamique, une nécessité pour la survie et le développement de l’agriculture québécoise.
Photo: Claude Lafleur, agroéconomiste et gestionnaire d’entreprises
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L’entrepreneuriat moderne et dynamique, en agriculture régionale surtout, passe inévitablement par une ouverture et une révision sérieuse de la Loi sur les produits alimentaires, la Loi sur la mise-en-marché des produits agricoles et la Loi sur les producteurs agricoles. Quand on peut, on veut!
Très bonne élocution. Ça donne une tape dans le dos de tout le monde! Bien hâte de voir la politique « bioalimentaire » qu’ils nous pondront par la suite.