Mis à part un certain nombre de producteurs laitiers et le groupe des fromagers, les agriculteurs québécois ne souhaitent pas l’échec et l’abandon de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne (UE).
On estime en général que les avantages qu’apporterait l’entrée en vigueur de ce traité commercial sont supérieurs aux inconvénients que subiront certains groupes, dont, encore une fois, les fromagers.
Lionel Levac fait le point.
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