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Même s’il n’aime pas beaucoup l’expression souveraineté alimentaire, l’ancien Premier ministre du Québec, M Jean Charest n’en souscrit pas moins aux principes de la sécurité alimentaire et de la capacité du Québec à développer et protéger son secteur agroalimentaire.

D’ailleurs, si la gestion de l’offre a survécu aux négociations récentes du Partenariat transpacifique (PTP), c’est grâce à l’ancien Premier ministre lui-même et l’équipe qui l’entourait. Jean Charest s’est catégoriquement opposé à la disparition de la gestion de l’offre, tout au long de cette négociation et, particulièrement lors des intensives discussions intensives des dernières heures.

Jean Charest, s’il est convaincu de la nécessité de bien identifier les produits québécois, de leur faire une place de choix dans le commerce et aussi de maintenir diverses mesures de soutien et de protection du monde agricole, n’en demeure pas moins un partisan de l’ouverture commerciale.

À la suite de la Soirée-Conférences de la Coalition québécoise pour la souveraineté alimentaire et de l’Union des producteurs agricoles Développement International (UPA-DI), Lionel Levac a retenu certains propos de l’ancien Premier ministre du Québec

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